
Niculus, coanimateur de balado Les aventures de Maximus Niculus. Ah, Niculus. L’homme, le mythe, la coiffure toujours impeccable, peu importe la gravité artificielle. Animateur de radio et de télévision québécois, il est surtout connu pour être l’un des pionniers de la station Galactus – ce temple de l’infodivertissement où les égos orbitent plus haut que les satellites. À 15 ans, alors que d’autres cherchaient encore comment ouvrir leur casier sans pleurer, Niculus imposait déjà sa voix grave et son regard perçant. On disait de lui qu’il avait le charisme d’un leader et la rigueur d’un robot bien huilé. Artiste dans l’âme (et dans les poses), il collectionne les trophées d’art oratoire remportés au Club Jovialiste d’Europa – ce qui, paraît-il, est encore plus prestigieux que ça en a l’air. Il a même fait ses débuts au cinéma dans Valérius, partageant l’écran avec la très sérieuse Cheiila, journaliste-vedette et reine des débats tendus. Côté politique, Niculus ne fait pas dans la dentelle. Il soutient avec ferveur Catheriinus, brillante, mais stressée ministre du Commerce intergalactique, qui tente désespérément de calmer la tempête déclenchée par les menaces tarifaires de Nimportacus (oui, encore lui). Apparemment, taxer les exportations de circuits quantiques et de batteries à fusion, c’est « mauvais pour l’économie », selon elle. Shocking. Mais peu importe la crise, Niculus sera là, micro à la main, sourire contrôlé à 42 %, prêt à donner son avis sur tout — surtout quand on ne lui a rien demandé.